Rétro Renault Dauphine. Paré pour les vacances sur la Nationale 7

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Passionné d’anciennes, Thomas Chasseloup a acheté, en 2008, cette Dauphine en très bon état esthétique mais dont le moteur était bloqué.

Fan de voiture, Thomas Chasseloup a d’abord acheté une carcasse de 4L avant d’embrayer sur une R12 break de 1972. Mais cette dernière manquait de charme et il s’est mis en quête d’une nouvelle acquisition. Il est finalement tombé sous le charme de cette Dauphine bleue de 1958.
« Esthétiquement, elle était en très bon état. Sa peinture avait été refaite une fois. Mais les sièges étaient détériorés et le moteur ne tournait plus. Je l’ai emmené sur un plateau contre 2 000€ », raconte son propriétaire. « Ce qui m’a séduit, outre son état extérieur, c’est qu’elle est toujours restée dans le département et qu’elle a conservé sa plaque d’époque. Et après avoir fait réparer son moteur Ventoux 845 cm3, elle est passée au contrôle technique », explique Thomas Chasseloup, qui possède le carnet d’entretien d’origine.

En famille
Construite à plus de deux millions d’exemplaires, la Renault Dauphine reprenait de nombreuses pièces de la 4CV sortie après-guerre, ce qui explique que les pièces se dénichent sans soucis et une cote relativement basse, entre 4 000 et 6 000€. « Sa cote monte tranquillement mais n’atteindra jamais des sommets », indique Thomas Chasseloup, pour qui l’intérêt est ailleurs. « C’est une voiture que toute la famille a adoptée, mes filles de 5 et 8 ans adorent monter à l’arrière. On réfléchit à partir ensemble sur la Nationale 7 », indique celui qui roule au quotidien en 4L.

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