Olivier Jouan est le dirigeant d’Agraph Publicité, basé à Melesse. Pendant une matinée, il a troqué son SUV familial pour la nouvelle compacte de BMW afin d’honorer les rendez-vous de son activité de covering de véhicules et enseignes lumineuses.
Un agencement intérieur au top
« Ma voiture, c’est mon bureau. J’ai besoin que l’agencement soit optimum. À bord de cette compacte, je suis servi. L’encombrement limité vu de l’extérieur me laissait craindre d’être à l’étroit, mais une fois dedans, il n’en est rien. L’espace est optimisé. Et même des objets encombrants comme le panneau publicitaire que j’ai dû livrer logent dans le coffre. »
Sportive malgré le passage en traction
« Je suis un gros rouleur. À raison de 50 000 km effectués par an environ, j’ai adopté une conduite assez dynamique. La sportivité du moteur 1,8 litre essence de 140 cv est très appréciable. C’est une voiture très réactive, qui a du mordant en ville comme sur les quatre voies lorsqu’il s’agit d’avoir de la reprise pour doubler. Le caractère sportif propre à la marque se retrouve bien, même si ce nouveau modèle inaugure la traction. Côté freinage, c’est souple mais efficace. »
« Le bond en matière d’équipements est significatif »
La technologie embarquée bien pensée
« Pour une de mes employées, j’ai acquis, il y a deux ans, une Série 1 ; l’ancienne génération donc. Le bond en matière d’équipement est significatif. Dans cette nouvelle mouture, on a l’impression de retrouver la connectique réservée auparavant aux modèles plus haut de gamme encore. Je retrouve, par exemple, la large tablette centrale, tout en digital, que j’avais tant apprécié sur un X5. La technologie à bord est bien intégrée et son adoption ludique, en particulier grâce à la console près de l’accoudoir qui est très ergonomique. L’écran orienté vers le conducteur est aussi plaisant. »
Position de conduite confortable
« Habitué à la position haute d’un SUV, je redoutais un peu de me sentir bas. C’est l’impression que j’ai lorsque je conduis l’ancienne version de la Série 1. Ici, ce n’est pas le cas. La ligne a été beaucoup retravaillée, j’imagine que la nouvelle édition est rehaussée. À moins que ce ne soient les sièges sport très confortables et dans lesquels on est bien calé qui ne donnent ce sentiment. Malgré sa nervosité, la voiture est finalement très souple dans la direction comme dans le confort. Le grand volant moelleux renforce ce ressenti. »
Reparti de zéro
Pour la troisième génération de sa Série 1, BMW a tout revu sans déroger à la promesse qu’honore sa compacte sportive depuis 2004. Fini l’exception, comme les MINI et autres « petites » BMW (Série 2, X1 et X2), la Série 1 passe sous plateforme UKL avec une mécanique implantée désormais transversalement. Pour une longueur hors-tout, quasi identique à sa prédécesseure, cette nouvelle édition raccourcit son capot, mais allonge l’espace aux jambes des passagers arrière. Un vrai changement de silhouette.
Série 1 BMW M Sport édition avec moteur essence 1,8L 140 cv à 34 750€
En option visibles sur le modèle essayé : jantes 19 pouces bicolores, pack confort, peinture Storm bay, Cuir Dakota.
BMW Huchet
Zone d’Activités La Brosse
Route du Meuble à Saint-Grégoire
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