Dès 1952, Mercedes lance sa classe SL avec la fameuse 300 SL. Les séries Sport Leicht déterminent les coupés et les cabriolets. Celle de Francis Davril est un 6 cylindres de 1984.
C’est en 1971 que Mercedes produit la SL type R107. Ce modèle, équipé d’un hard-top et d’une capote, remplace le type “Pagode” « Je l’ai achetée en région parisienne, à la femme d’un ami qui venait de décéder », se souvient Francis Davril. « Son 
moteur est propulsé par 6 cylindres en ligne de 198 ch. à double arbre à came. Et je peux vous dire que l’on sent ses chevaux sous son capot ! C’est un modèle toutes options avec ses jantes de 16” appelées “nid d’abeilles”, sa boîte 5 vitesses, son rétroviseur droit (absent sur le modèle de base), ses joues de porte en inox, son accoudoir central dans l’habitacle, son tableau de bord en ronce de noyer et bon nombre de chromes. Elle est surtout destinée aux couples et j’aime me balader le week-end à son volant avec ma femme, surtout dans sa version décapotée lorsqu’il fait beau. J’ai dans l’idée de m’en séparer pour acquérir un autre modèle. Pour l’instant, je suis indécis mais 
si quelqu’un me fait une offre, cela demande bien entendu réflexion », laisse entendre Francis Davril. Mercedes produisit à l’époque un modèle SL V8, destiné au marché américain. Cette version avait pour but de concurrencer la Jaguar XJ-S cabriolet V12, alors très prisée au pays de l’Oncle Sam.
